22 décembre 2006

Paris

les 17 et 18 décembre
un réveil plutôt difficile à 6h30 pour moi, puisque Sophie était censée venir me chercher à 7h30, et c’est finalement 15 minutes plus tard que je vois Marion sonner à ma porte, bon il m’a fallu quelques temps pour comprendre que Marion avait dormi chez Sophie :ooX ça m’a toute perturbée ! donc ensuite gros missionage pour trouver là où habitait Coralie (enfin surtout pour trouver la sortie sur la tangentielle), j’sais même pas si on peut appeler ça missionage, j’dirais plutôt galérage international tellement c’était énorme ! le truc c’est qu’on rigolait pas trop quand même, yavait un brouillard à ne rien voir donc bon on est excusé :op
arrivées finalement chez Coralie, où on se fait engueuler ^^ a ba bravo elle est belle la jeunesse ! tss ! et puis de toute façon, c’était d’la faute à Marion, et puis c’est tout ! :pp j’plaisante c’est grâce à elle qu’on ne s’est pas retrouvé à Vitry-aux-loges, euhh j’voulais dire Trifouilly-les-oies :D
bon après sur la route, j’me rends compte que j’aurais pu retrouver les filles en chemin vu qu’on est passé tout près de chez moi…
on arrive à Paris sans trop de difficultés avec Coralie au co-pilotage ! on dépose nos affaires, Marion a tout de même réussi à oublier son téléphone aux toilettes (^^)
puis direction Chatelêt-Les Halles (chanson de Calo pour Pagny d’ailleurs :D) qu’on a fait en long, en large et en travers, on même eu droit aux pigeons dans le Mac Do, n’est-ce pas Coralie ? ^^
l’après-midi, BHV (ou Bazar de l’Hôtel de Ville héhé !) qu’on a commencé par le rayon outillage-bricolage genre Leroy Merlin pour faire plaisir à « la dame en verte aux ongles manucurés avec le cheveu propre » mdr, ensuite la place de la mairie avec la patinoire, mais la file d’attente nous a un peu rebutée, nous voilà donc derrière la barrière à regarder les gens patiner ! finalement, on pars pour faire les vitrines et les illuminations du Boulevard Haussmann… c’était bien mais ça aurait été encore mieux avec le monde en moins, parce qu’ils étaient bien relou les gens :-// et retour chez Sophie, en chemin on essaye de trouver quelques trucs à manger, mais ya quasiment rien d’ouvert, résultat : on s’est fait arnaqué chez « l’épicier GLE » et 2 pizzas ! prises d’une crise de flemmatite aigüe, pas envie de ressortir donc ce sera « Joyeux Noël » sur l’ordi de Sophie, Marion a adoré surtout à partir du milieu… :pp réveil difficile le lendemain (sauf pour Marion qui avait pris un peu d’avance pendant le film donc ^^)
nous partons à la recherche d’un musée ouvert le lundi avec une expo intéressante et pas trop cher, et ben disons que ce fût plutôt difficile… et pour cause, voici ce que fait Marion pendant ce temps!nous nous rabattons sur le musée de la parfumerie, gratuit, ouaa on en a eu pour notre argent : une mini salle d’expo et ensuite tout le monde passe à la boutique, aucune vendeuse n’a daigné venir nous voir… on n’avait pas le style, ni l’argent… !
avant ça, on avait un petit tour en voiture Tour Eiffel, Champs Elysées,… et l’après-midi, on décide de faire les magasins Printemps et quelques petites rues aux alentours
p*tain, 8.4€ pour 3 heures de parking, décidément c’est toujours pas passé… :X

2 jours bien fatigants, la foule, le piétinement, le bruit c’est épuisant, mais 2 jours tout de même très plaisants avec les filles ! ;-) bisous à vous et à celles qui n’ont pas pu venir (Charlotte et Lisa…)
j’ai failli oublier qu’on a vu une superbe exposition des maquettes du film Arthur et les Minimoys, j’ai a-do-ré ! ^^
Sinon, Sophie s’est débrouillée comme une chef pour nous promener dans Paris, un slalom entre les voitures plutôt sympathique et mémorable en sortant du parking des Galeries Lafayettes!


toutes les photos sont ici

jeudi 21

partiel « approche anthropologique du droit » hummm que de réjouissances !
durée : 1h30
nature : 3 « questions » de « cours » (très simple d’après le prof, un peu moins pour moi…)
niveau : licence 2 (si si j’vous jure, c’est écrit noir sur blanc !)

1) les conceptions de la mutation du droit : évolutionnisme juridique
2) lien entre loi et mythe, particularité des sociétés traditionnelles africaines
3) place du droit dans le temps : naissance et disparition

eh bien, mes amis… j’ai kiffé grave sa race ^^ disons que même en étant présente et attentive à tous les cours, ben ya des questions qui restent encore sans réponse :D
la seule chose que ça m’inspire, c’est qu’il faut que je connaisse la date du rattrapage en juin le plus tôt possible que je prévois pas de concert ce jour là !

vacaaaaaaances !

mercredi 20

Fleury se fout de notre gueule ! Absent 2 semaines de suite, il nous met une heure de rattrapage alors qu’on a autre chose à foutre (réviser un partiel par exemple…^^ c’est juste un exemple comme ça !), et le monsieur ne se déplace même pas à la salle, il préfère rester dans son bureau à boire du thé ou du café décaféiné (j’ai pas très bien suivi à ce moment..). Donc gentils élèves que nous sommes (et surtout pour ne pas être venus pour rien), nous allons le chercher à son bureau, par la même occasion, on prend nos heures de passage pour le fameux oral avec Daury… ayé je connais ma date de mort : vendredi 12 janvier à 10h30 (j’suis désolée pour ceux qui viendront à mes obsèques, c’est en hiver, il fera pas bien chaud dans l’église…). Oui, donc Monsieur Fleury est malade, il se croit un peu trop tout permis, il raconte sa vie… et je déteste son système de notes (je veux bien qu’il donne un coup de pouce à certains, mais là :o( )

emploi du temps du 2ème semestre : pourri
j’ai plus mon lundi matin, ni mon vendredi après-midi, alors forcément ça ne va plus… :-// les méchants !

mardi 19


petite après-midi avec ma marilo, bien sympathique ma foi !
c’est assez surprenant, on a beaucoup changé, physiquement je parle surtout, enfin ce n’est que mon avis mais :oo m’a fallu du temps pour me dire que c’était bien toi !^^ sinon une après-midi comme on aurait pu la passer pendant nos années lycée, comme pour se persuader que rien n’a changé… mais si beaucoup de chose ont changé c’est vrai, on ne peut vraiment pas le nier, les faits sont là… mais cette après-midi nous a montré que tout ça ne pouvait pas s’arrêter là, comme ça… que tu comptes encore et toujours !

15 décembre 2006

mardi 12 - mercredi 13

Ya des jours comme ça…

Mardi soir 21h, paf plus d’électricité… merde qu’est-ce qui s’passe ? disjoncteur j’remets sur 1… ben merde toujours rien… allô papa ! qu’est-ce que j’fais ?... tu remets le disjoncteur sur 1… ben merci, mais ça m’aide pas beaucoup là… mon papa appelle le proprio et la réponse… faut remettre le disjoncteur sur 1… oula merci tout le monde…
j’allume ma petite bougie Ikea à la framboise (la seule que j’ai…) qui s’est révélée avoir des vertus apaisantes sur moi
forcément ça tombe le jour où j’ai quasiment plus de batterie d’ordi (donc j’peux pas bosser juste le soir où j’étais motivé pas biiien :X ), ni de téléphone
une nuit sans chauffage, le réveil est difficile…surtout avec les 15 petits degrés dans la pièce ! je suis en retard pour le droit, forcément je chope le tram avec le pépé qui roule à 40 là où d’habitude c’est 80 :( finalement, j’arrive pour que le prof nous dise qu’on n’est pas assez nombreux pour avancer le cours (36 élèves sur 150) donc ben j’suis venue pour rien !
en rentrant, j’dois faire tout le ménage, mes proprios doivent venir en début d’aprem pour voir pourquoi ya pas d’électricité…je me décide à manger la seule tranche de jambon que je sais dans mon frigo (ben oui, j’peux même pas manger chaud :’’( ), j’ouvre le frigo et vlan j’me reçois l’équivalent d’une bonne bassine de flotte sur les genoux, ben oui toute la glace du frigo avait décongelé…et là t’es trop heureuse !
finalement vers 3 heures, ya un gars de EDF qui vient, et j’avais plus de fusible dans mon compteur électrique de la cage d’escalier, c’est tout simplement le connard du dessus qui ne paye plus sa facture EDF à qui on avait enlevé son fusible et qui c’était gentil servi dans mon compteur… (mais je prépare ma vengeance ^^)

09 décembre 2006

Mickey is back!



Quelle nouvelle...! Ca se passe de commentaires...

Envie d’écrire, mais quoi ? Que je vais bien, oui ; que je suis toujours là, oui...mais quoi d’autre ? o_O
Un week end à Paris de prévu, pour le week end prochain avec les coupines!
Plus de Daury et de Casquet pendant un mois :D ça fait toujours plaisir!
Enfin revoir Marilo... *sourire freedent* mais bon je commence à me faire supersticieuse, donc tant que c'n'est pas sûr...chut! Au fait, moi aussi je t'aimeeuuuuu ;-)
Je sens que les cours de LEA commencent à porter leurs fruits (pas trop non plus hein ^^), j'me sens un ptit peu plus à l'aise en anglais et allemand, donc j'suis contente...
Et puis bonne nouvelle ce week end en rentrant chez moi : 1ère interview de Calo sur son prochain album "Pomme C" prévu pour le 5 ou 12 mars :D :D :D ben voilà quoi :D :D :D
Je sais que vous vous en foutez royal, mais moi j'en ai envie alors je mets l'interview :oppp


En studio avec Calogero
Après deux disques qui l'ont propulsé vers les sommets, Calogero peaufine à Bruxelles son quatrième album, prévu pour mars prochain. Fidèle à son style pop-rock, il y aborde, sous la plume de Zazie, des thèmes plus actuels. LA NUIT a été courte. Mais Calogero est déjà sur le pont. Au studio ICP, à Bruxelles, ce mardi 5 décembre, le chanteur débarque à 10 heures du matin et avale des œufs brouillés. Il est un peu chez lui, dort sur place, tout en multipliant les allers-retours pour passer du temps, à Paris, avec sa famille qui vient de s'agrandir. « Romy est née il y a trois semaines, ma deuxième fille après Nina, qui a bientôt 3 ans. » Dans ces locaux dédiés à la musique, Calogero travaille « comme à la maison ». Il possède même un mur où sont accrochés ses disques d'or et de diamant, rappelant qu'il constitue l'un des plus gros vendeurs de musique en France : 1,8 million d'exemplaires de son dernier album, plus d'un million pour le précédent. « Le seul disque que je n'ai pas fait ici, c'est mon premier, qui n'a pas du tout marché. » Alors, il repasse toujours par la Belgique. Superstition sicilienne sans doute.

Des paroles qui le poussent dans ses retranchements
Cette fois, l'artiste âgé de 35 ans s'est néanmoins laissé emporter dans une aventure surprise. Un quatrième album, « enregistré en plein air » comme il dit, sur la terrasse d'un immense manoir en Toscane (lire l'interview). De là sont sortis 13 titres, qu'il mixe depuis trois semaines à Bruxelles, fruit d'une collaboration exceptionnelle : le chanteur signe toutes les musiques, Zazie toutes les paroles. Ecriture à quatre mains et inspiration démultipliée. Car sur ce prochain disque, qui sortira début mars - le 5 ou le 12- Calogero gagne en profondeur et en intensité. Tout démarre par « Pomme C », qui donnera son titre à l'album. D'emblée, le musicien pousse les murs avec un son ample, ambitieux, au confluent de ce qui lui est cher : la pop anglo-saxonne au souffle épique et la chanson en français dans le texte. Les mots de Zazie virevoltent sur le thème de l'amour virtuel : « C'est un homme et une femme et c'est tout un programme... Tu m'allumes et tu me quittes. On s'aime trop vite. » Belle entrée en matière, prolongée par un impressionnant « Saut de l'ange » qui pourrait être le premier single à découvrir en janvier. La chanson démarre doucement sur un duo guitare-voix, avant d'exploser en tourbillon de rock dansant façon Bloc Party ou Franz Ferdinand, porté par un refrain imparable. On n'attendait pas Calogero à pareille fête. Il se régale pourtant à explorer des terres encore inconnues pour lui, notamment grâce aux mots de Zazie. La parolière le pousse parfois dans ses retranchements. Elle lui fait ainsi chanter des mots de filles dans « Me dit-elle», caricature des obsessions masculines. Elle l'oblige à s'interroger sur le temps qui file au son d'une valse émouvante, « Danser encore ».

Invité à dîner Place Beauvau
A travers la plume de celle-ci, il tape du poing sur la table dans le bluffant « Drôle d'animal» : « Je suis le moins humain des animaux. Je ne pense à rien qu'à sauver ma peau », chante-t-il sur un air qui rappelle son obsession pour Ennio Morricone. Et il y a ce morceau en cours de finalisation dans le studio d'à côté, hymne grinçant baptisé « Suis-je assez clair », sur les travailleurs immigrés, qui le renvoie à son histoire familiale. « Je suis là pour travailler dès le jour qui se lève. Je suis là pour façonner la maison de vos rêves », scande le refrain. Pas loin d'être une chanson politique, même si Calogero ne veut pas en faire. Il votera l'année prochaine pour la première fois. « Afin de ne pas avoir honte comme en 2002, explique-t-il. J'ai eu peur pour mes parents italiens. » On a dit qu'il avait dîné avec Nicolas Sarkozy. Il confirme. « Il m'a invité. Je ne me voyais pas refuser d'aller Place Beauvau, compte tenu de mon parcours personnel. Mais il n'est pas question que je le soutienne. Ni personne d'autre d'ailleurs. » Il fait partie des indécis, « proche des idées sociales de gauche, mais libéral peut-être dans le sens où je suis attaché à l'importance du travail ». Et le sien, Calogero le fait de mieux en mieux.

"L'interview"

« La subtilité de Zazie me va bien »
Bruxelles - Entre deux séances de travail, Calogero s'installe dans un canapé et parle de ce nouvel album, l'un des disques les plus attendus de 2007.

Dans quel état d'esprit avez-vous préparé ce disque ?
Calogero. Je voulais travailler différemment, répéter d'abord avec mes musiciens qui m'accompagnent en tournée. On a trouvé un manoir en Toscane, pas du tout adapté à la musique mais qui pouvait permettre de loger toute l'équipe technique sur place. Et quand je suis arrivé là-bas, j'ai prévenu tout le monde : « Apportez du matos, on va enregistrer là-bas. » Du coup, l'album a été fait en plein air. On s'est installé sur la terrasse, sous des arcades, pour faire toutes les prises de son. On a mis des micros un peu partout pour capter l'environnement musical.

Pourquoi avoir fait appel à Zazie pour les textes?
On avait déjà fait trois chansons ensemble précédemment. Et là, pour changer, je souhaitais travailler avec un seul auteur. Et Zazie représentait le choix le plus naturel. Ensemble, on a vraiment un son. Elle a écrit sur toutes les chansons que j'ai composées chez moi pendant un an. Elle me pousse à dire des trucs, comme sur « Je sais », un titre qui parle de la paternité. Parfois, elle utilise une subtilité féminine qui me va bien sans que ce soit ambigu. Elle a finalement une écriture très sexy pour moi.

Après vos deux énormes succès, ce disque est très attendu...
Pourtant, avec ma maison de disques, je me comporte souvent commeun artiste débutant, à demander si je peux faire ci ou ça. Je n'aime pas, par exemple, que le label paie tout le temps pour tout. Ce n'est pas un dû pour moi. En fait, je n'ai pas vraiment conscience de ma notoriété.

Vous l'assumez ?
Mieux qu'à une époque. A la fin de la précédente tournée, mon plaisir était d'aller tous les jours dans des magasins, comme quelqu'un de normal. Aujourd'hui, le rapport avec les gens se révèle assez simple. On me considère avant tout comme un musicien. Quand on m'arrête dans la rue, c'est pour me dire : « Alors, Calo, ça se prépare? »

Vous serez à Bercy en décembre 2007 ?
Oui, j'adore cette salle. Mais il ne s'agit pas de sortir les gros moyens. Je ne veux pas que cela devienne démesuré. Et je suis persuadé que les spectateurs peuvent sortir complètement soufflés uniquement par la prestation d'un artiste. Mais avant Bercy, on devrait démarrer, comme la dernière fois, à l'Européen, une toute petite salle où j'ai fait mes premiers concerts. Ça m'a porté chance.


pour la vidéo de Calo avec des extraits des zik, c'est par
ici